Alors que Dave Harvey prend sa retraite de son poste de co-dirigeant chez Ami·es des parcs, il revient sur le chemin parcouru depuis la fondation de l'organisation en 2011.
Erika Nikolai, directrice générale d’Ami·es des parcs, a reçu le prix de l’Individu d’exception décerné par World Urban Parks — l’une des reconnaissances internationales les plus prestigieuses dans le secteur des parcs et de l’espace public.
Le programme offre aux citoyen·nes engagé·es issu·es de quartiers sous-desservis un accompagnement visant la mise en valeur ou la transformation d'espaces vacants ou sous-utilisés en espaces verts publics.
Et si vos citrouilles sculptées trouvaient une seconde vie après Halloween ? Généralement organisées le lendemain d’Halloween, les parades de…
Découvrez comment les initiatives d’intendance des grands parcs urbains du Canada contribuent à des écosystèmes plus sains, au bien-être des participant·es et à un soutien essentiel pour les services municipaux.
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Une excellente nouvelle nous parvient de la scène internationale ! Le 10 octobre 2025, lors du World Urban Parks Symposium* à Istanbul, en Turquie, Erika Nikolai, directrice générale d’Ami·es des parcs, a reçu le prix de l’Individu d’exception [Distinguished Individual Award] décerné par World Urban Parks*.
Il s’agit-là de l’une des reconnaissances internationales les plus prestigieuses dans le secteur des parcs et de l’espace public. Ce prix met en lumière non seulement le leadership d’Erika, mais aussi l’impact du mouvement national que notre organisation a contribué à établir au Canada.
Fondée à Toronto en 2011, l’organisation s’est développée jusqu’à devenir une organisation nationale bilingue. Elle soutient aujourd’hui des milliers de leaders œuvrant pour les parcs : organisations sans but lucratif, personnel municipal et groupes citoyens. Notre vision est simple, mais ambitieuse : nous imaginons un avenir où chaque personne au Canada a accès à des parcs de qualité, et où les citadin·es et la nature s’épanouissent pleinement.
Pour y parvenir, nous offrons renforcement des capacités, financement, recherche et formations.Guidée par les principes de réciprocité, d’équité sociale et d’intégrité écologique, notre organisation participe à la création de parcs urbains vivants, inclusifs et résilients partout au Canada.
Comme l’a dit Erika lors de la remise de son prix :
« C’est un grand honneur de recevoir le prix de l’individu d’exception. Cette reconnaissance reflète non seulement mon travail, mais aussi l’engagement de notre équipe, la passion des leaders des parcs que nous soutenons, ainsi que l’implication de nos partenaires et bailleurs de fonds. Je suis fière d’accepter ce prix au nom de tous les membres d’Ami·es des parcs et de notre réseau, qui contribuent à rendre nos villes plus fortes, plus connectées et inclusives. »
Erika Nikolai, directrice générale, Ami·es des parcs
C’est également une immense fierté que deux parcs canadiens de notre réseau reçoivent la reconnaissance internationale de WUP@10.
Ces distinctions illustrent la force et la diversité du réseau d’Ami·es des parcs. Des grands espaces régionaux aux petits parcs de quartier pleins de vie, tous jouent un rôle essentiel pour renforcer la cohésion sociale, la qualité de vie et la résilience de nos villes.
Nous aimerions aussi féliciter chaleureusement la Ville de Toronto qui a reçu le prix du nouveau projet de parc d’exception [Award of Outstanding New Park Project] pour le parc Biidaasige*.
Des prix comme ceux-ci nous montrent que le travail accompli dans les parcs – qu’il se fasse dans les quartiers ou à l’échelle des villes – est reconnu à travers le monde. Ils soulignent également l’importance de la collaboration : nous accomplissons davantage lorsque nous unissons nos forces.
Cette reconnaissance internationale nous remplit de fierté et nous encourage à poursuivre sur notre lancée. C’est pourquoi nous continuerons de soutenir les remarquables leaders et groupes citoyens à travers le Canada et transforment chaque jour nos parcs urbains.
Il a été prouvé que les grands parcs urbains du Canada jouent un rôle dans la santé des écosystèmes et dans la cohésion sociale, des facteurs déterminants pour la prospérité des villes.
Entre 2021 et 2025, le réseau grandissant de Parcs Cœur vital, présent d’un océan à l’autre, a évalué son impact sur les individu·es et sur l’environnement. Il a démontré que le fait de prendre soin de la terre — en éliminant les espèces envahissantes, en plantant des espèces indigènes, entre autres – avait des effets positifs sur la santé mentale et physique des bénévoles participant à ces activités.
Les Parcs Cœur vital ont également montré l’importance capitale de leur travail pour les villes qui les abritent. La grande majorité des services des parcs des municipalités canadiennes font face à un manque de ressources financières et humaines et sont sollicités pour traiter des enjeux sociaux plus larges, pour lesquels ils se sentent mal équipés (RPUC de 2024). Parallèlement, les Parcs Cœur vital et leurs bénévoles génèrent une valeur économique significative pour les grandes municipalités canadiennes, soutiennent le personnel municipal et allègent la charge des services sociaux et de santé traditionnels en offrant des espaces favorisant le bien-être et la cohésion sociale des résident·es.
Grâce au travail infatigable de nos partenaires des Parcs Cœur vital, il est évident que ces espaces sont essentiels pour les personnes vivant en ville : ils rapprochent les voisin·es entre elleux et à la nature, et offrent des solutions pour rendre nos villes plus agréables à vivre.
Découvrez comment les initiatives d’intendance impactent les écosystèmes, les participant·es et les services municipaux.
Tout grand projet de parc public commence par une grande idée, et souvent un petit coup de pouce financier pour la concrétiser.
Si votre groupe œuvrant pour un parc rêve de créer un nouveau jardin pour pollinisateurs, d’organiser un festival artistique ou même d’embaucher une nouvelle personne pour gérer l’organisation, obtenir une bourse peut être d’un grand soutien pour réaliser et soutenir vos ambitions.
Toutefois, remplir une demande de bourse peut sembler un peu intimidant. Voilà pourquoi nous avons élaboré ce guide afin de vous accompagner à travers les différentes étapes, et de vous fournir des conseils utiles et des ressources qui vous faciliteront la tâche.
Faisons en sorte que votre projet reçoive le soutien qu’il mérite !
Plusieurs types d’organismes offrent un soutien financier aux groupes citoyens œuvrant pour un parc :
Voici comment identifier les offres les plus pertinentes pour votre groupe :
Rédiger une demande de bourse prend du temps et de l’énergie, alors soyez stratégique sur celles auxquelles vous voulez postuler. Examinez attentivement les critères de chaque bourse pour veiller à ce que votre groupe ait une chance d’être sélectionné (ou même de voir si vous avez le droit de poser votre candidature). Vérifiez les informations suivantes :
Tout organisme subventionnaire souhaite savoir si vous disposez d’un budget réaliste et détaillé pour votre projet. Votre budget doit :
De nombreuses organisations méritantes se disputent les bourses proposées. Pour sortir du lot, racontez l’histoire de votre groupe d’une manière convaincante afin de capter l’attention des bailleurs de fonds. Voici nos principaux conseils pour rédiger des textes persuasifs :
Vous avez envoyé votre demande et avez reçu la mauvaise nouvelle : votre projet n’a pas été retenu pour la bourse. C’est décevant, certes, mais n’oubliez pas qu’un « non » peut souvent dire « pas encore ». Si votre demande a été rejetée, contactez le bailleur de fonds pour lui demander de vous faire part de ses commentaires sur sa décision. Il se peut que votre projet réponde mieux aux critères d’une autre bourse, ou bien qu’il manquait un élément que vous pourrez ajouter lors du prochain cycle d’octroi de bourses.
Hourra, votre candidature a été retenue ! Est-ce qu’on peut sortir le champagne ? Pas tout à fait. Tout d’abord, commencez par :
Maintenant vous pouvez aller fêter ça !
Les événements organisés dans les parcs apportent de la vie dans leur quartier respectif. Ils permettent non seulement de créer une atmosphère plaisante et de rassembler les gens en plein air, mais aussi d’inciter l’engagement civique et la mobilisation des résident·es envers leurs parcs urbains.
Grâce à ce guide, vous pourrez prévoir les démarches nécessaires pour organiser un fabuleux événement dans votre parc.
Avant d’organiser un événement, il est préférable de commencer par la fin : demandez-vous quelles répercussions cet événement aurait sur votre groupe ? Est-ce qu’il vous permettrait d’attirer de nouveaux bénévoles ? D’obtenir de nouveaux dons pour soutenir votre travail ? De faire venir et de rassembler des résident·es qui n’ont jamais fréquenté votre parc auparavant ?En clarifiant vos objectifs, vous serez en mesure de choisir le format adéquat de votre événement pour atteindre votre but.Par exemple, si vous souhaitez attirer de nouveaux résident·es, vous pourriez opter pour un événement familial gratuit en plein air. Si vous souhaitez attirer de nouveaux bénévoles, un ramassage des déchets dans le parc pourrait intéresser de potentielles nouvelles recrues.Quels que soient le thème et le format que vous choisissez, veillez à ce que votre événement soit accessible et écoresponsable. Avant d’aller plus loin, lisez nos guides sur la manière d’améliorer l’accessibilité et l’inclusivité des événements et de planifier un événement zéro déchet dans votre parc.
En fonction de la taille de votre événement, il pourrait vous être utile de constituer une petite équipe de travail. Ensemble, vous pourriez établir votre plan de travail et diviser les responsabilités.Réfléchissez à la manière dont votre équipe pourrait représenter les intérêts multiples de votre public. Pour les événements plus importants, songez à inviter des artistes, le personnel d’organisations caritatives ou des responsables de petites entreprises. Ces personnes pourraient apporter leurs perspectives ainsi que des idées d’activités. Pour les événements à plus petite échelle, songez à inviter les résident·es du quartier, les promeneuses et promeneurs de chiens, les parents, les jeunes, les personnes âgées ainsi que celles et ceux qui possèdent les compétences recherchées pour contribuer au succès de votre événement.Vous pouvez encourager d’autres personnes à se joindre à votre groupe :
Après chaque réunion, envoyez aux membres les notes ainsi que les tâches à réaliser. N’oubliez pas non plus de remercier les bénévoles qui donnent de leur temps pour contribuer au succès de cet événement !
Vous souhaitez obtenir davantage de conseils pour attirer et conserver les bénévoles ? Lisez notre guide pratique.
Les règles sur l’obtention des permis varient d’une municipalité à l’autre. Dans certaines, si votre événement réunit plus de 25 personnes, vous devrez obtenir un permis ainsi qu’une assurance. Pour servir de la nourriture et diffuser de la musique amplifiée en direct, l’obtention de permis est généralement plus complexe.Consultez votre municipalité pour déterminer les permis et assurances dont vous aurez besoin ainsi que ce qui est permis ou pas dans votre parc. L’obtention de permis peut prendre entre six semaines et quatre mois, alors veillez à vous y prendre à l’avance.
Organiser un événement implique de multiples frais potentiels :
Lors de la création de votre campagne de promotion, pensez à ces questions :
N’oubliez pas les tableaux d’affichage dans votre quartier et le bouche-à-oreille qu’ils suscitent. Songez aussi à recenser les endroits à forte fréquentation pour y accrocher vos affiches, comme :
La réussite d’un événement dépend souvent de l’établissement de son déroulement détaillé. Ceci comprend toutes les activités qui se passeront avant, pendant et après l’événement. Pensez aux détails suivants :
Organiser un événement dans un parc représente beaucoup de travail. Mais l’aide de plusieurs personnes peut faire toute la différence. Pour mobiliser et motiver votre équipe, faites que la préparation de votre événement soit centrée sur l’appréciation de vos membres. Songez à planifier une rencontre dans un restaurant, dans un centre communautaire ou chez une personne de votre groupe après l’événement pour remercier les bénévoles et les membres du comité organisateur.
Reconnaître et célébrer la participation des bénévoles contribuera à les inciter à offrir à nouveau leur aide les années suivantes. Qui plus est, tout le monde aura besoin de décompresser. Cela sera aussi une bonne occasion d’échanger ses impressions sur l’événement !
Le climat du Canada se réchauffant deux fois plus vite que celui de la planète, les résident·es doivent se préparer à faire face aux vagues de chaleur. Malheureusement, la température, la durée et la fréquence des épisodes de chaleur vont augmenter, ce qui n’annonce rien de bon pour nos villes. En raison des îlots de chaleur urbains – un phénomène qui se produit dans les zones métropolitaines où les températures grimpent davantage que dans les zones périphériques à cause notamment du manque de verdure et de la chaleur résiduelle liée à la densité démographique – les citadin·es doivent s’attendre à ressentir les fortes chaleurs plus que les autres.
Étant donné la situation, nous devrions chercher à l’heure actuelle à mettre en place des solutions dans nos villes, en particulier dans nos parcs. Les espaces naturels, comme les parcs, atténuent les îlots de chaleur urbains en créant des microclimats plus frais* qui nous protègent de la chaleur étouffante.
Dans ce document vous trouverez des conseils pour vous aider à organiser un événement dans un parc près de chez vous en période de canicule.
Des recherches récentes révèlent que les quartiers racialisés et à faible revenu au Canada disposent souvent de moins d’espaces verts de qualité que les quartiers plus aisés majoritairement blancs. Ces communautés sont également davantage exposées aux îlots de chaleur urbains. Même le trajet pour se rendre jusqu’à un parc peut être jalonné d’obstacles inattendus.
Lorsque l’accès aux parcs est limité, se rafraîchir pendant l’été devient une question d’équité en santé. Ce manque d’infrastructures expose davantage les populations déjà marginalisées à des risques accrus.
Voici quelques consignes à retenir pour l’organisation de votre événement en plein air en cas de forte chaleur :
Proposer des collations et des boissons rafraîchissantes permet aux participant·es de rester de bonne humeur, en forme et bien hydraté·es. Lorsque vous élaborez votre menu, voici quelques considérations à garder en tête :
Les épisodes de canicule peuvent aussi provoquer des malaises liés à la chaleur, lorsque le corps se réchauffe plus vite qu’il ne peut se refroidir. Heureusement, ces maladies peuvent être évitées, mais il faut néanmoins prendre le temps de s’informer et de s’y préparer.
Avant l’événement, consultez les prévisions et les avis météorologiques dans votre municipalité. Songez à vous familiariser avec l’endroit de l’événement pour déterminer où se trouvent les infrastructures essentielles au sein du parc. Voici quelques ressources pour vous aider à planifier votre activité :
Vancouver
Toronto
Montréal
À l’échelle nationale
Chaque année, lors de ses Sommets sur les parcs*, notre organisation réunit les membres engagé·es de son réseau. Il s’agit-là de citoyen·nes engagé·es, de bénévoles, d’employé·es des municipalités, d’organisations sans but lucratif, de leaders œuvrant pour les parcs et militant·es.
Organisés à Toronto, Vancouver et Montréal, ces sommets sont bien plus que de simples événements de réseautage au niveau local. Ce sont des moments importants qui nous permettent de marquer une pause dans notre travail, de faire connaissance avec d’autres personnes et d’élargir notre perception de ce qui est possible dans nos villes.
Les Sommets d’Ami·es des parcs offrent à toute personne qui se passionne pour les parcs urbains l’occasion de rejoindre un mouvement en faveur de parcs dynamiques, inclusifs et portés par l’engagement des citadin·es.
La manière dont le public utilise les parcs et s’y investit évolue profondément. Pour favoriser l’établissement de parcs urbains plus solides et adaptés à la croissance de nos villes, il est important que tout le monde puisse prendre part aux discussions que ce soit sur l’isolement social grandissant ou sur les conditions climatiques instables.
Notre organisation est précisément née de cet esprit. En 2011, un groupe de bénévoles vivant à Toronto s’est réuni autour d’une question simple, mais radicale : « Quel rôle pouvons-nous jouer pour que les parcs répondent mieux aux besoins de la population et des différents quartiers ? » Cette idée a trouvé un écho dans toute la ville, donnant naissance à un solide réseau de groupes citoyens, de programmes et de partenariats autour des parcs.
Toutefois, notre travail ne s’est pas arrêté là. En 2017, nous avons organisé notre première conférence nationale à Calgary. L’objectif était de réunir des leaders œuvrant pour les parcs venant de tout le Canada afin d’imaginer de nouvelles possibilités à l’échelle nationale basées sur la collaboration. Ce rassemblement a permis de lancer notre Réseau national, qui comprend aujourd’hui plus de 1 400 groupes citoyens dans 46 villes à travers le pays. Ce premier sommet a démontré que le potentiel des activités locales que nous avions observé à Toronto existait partout, et que ces idées pouvaient avoir un impact à l’échelle nationale.Si nous organisons des sommets, c’est parce que les parcs urbains ne sont pas seulement des espaces verts, ce sont des espaces profondément humains. En milieux urbains, ils constituent des lieux de rencontre, de culture, de protestation, de repos et de joie. Et derrière chaque parc apprécié des résident·es du quartier se cachent d’innombrables histoires d’implications civiques. Il peut s’agir de bénévoles organisant un ramassage de déchets, ou bien d’artistes animant leur parc en offrant de la musique, du mouvement et du sens.
Voilà pourquoi nous organisons des sommets : nous avons constaté par nous-mêmes que, lorsque nous nous rassemblons et partageons ces histoires, nous pouvons créer un mouvement autour des parcs qui soit vraiment porteur de changement.
Cette année, nous invitons toutes les personnes passionnées par les parcs urbains à participer à notre Sommet des parcs à Toronto qui aura lieu le samedi 14 juin, de 12 h à 18 h, au centre culturel Daniels Spectrum. Venez écouter des témoignages de collaborations innovantes et rencontrer les personnes qui façonnent l’avenir de nos parcs urbains. Entre chaque intervention, vous aurez le temps de vous restaurer, de visiter les stands interactifs des différents groupes et de partager vos propres expériences en tant que membre de ce réseau en pleine expansion.
Ange Loft, une artiste interdisciplinaire, est notre conférencière principale. Elle nous parlera de la présence autochtone et de l’établissement de partenariats dans les parcs. Sa présentation sera suivie d’une table ronde sur des initiatives locales, réunissant Ana Cuciureanu (Splash on Earth* et la Ville de Toronto*), Julia Hitchcock (Apothecary’s Garden* et Teaching Gardens at Churchill Park*), et Shakhlo Sharipova (Thorncliffe Park Autism Support Network*) et animée par Eunice Wong (Monumental*).
Que vous soyez engagé·e de longue date ou que vous commenciez tout juste votre parcours en faveur des parcs, le Sommet des parcs de Toronto est l’occasion idéale pour mieux comprendre les enjeux actuels qui touchent nos espaces verts. Le véritable changement dans nos parcs ne vient pas d’en haut : il prend racine au cœur même de nos quartiers.
Voilà pourquoi nous organisons ces sommets.
Participez au prochain Forum des ami·es des parcs de Montréal, le 17 septembre 2025 à la Cité des Hospitalières.
Venez participer à la conversation sur l’avenir des parcs urbains à Montréal.
En 2025, 72 groupes citoyens et organisations à travers le pays reçoivent une bourse TD Ami·es des parcs. Grâce à des événements créatifs, inclusifs et axés sur l’environnement, ils et elles rassembleront les habitant·es de leur quartier dans les parcs et des espaces verts à proximité.
Ces initiatives témoignent de la force des actions locales pour cultiver un lien vivant entre nature et communauté, d’un océan à l’autre.
Operation Fruit Rescue Edmonton (OFRE)
Sinkunia Community Development Organisation
Strathearn Community League
Windsor Park Community League
Pamir Canadian Multiculturalism Council
Skatelife Calgary
Spectrum Promising Association
Springboard Performance Society
Birding Buddies
Briarpatch Community Garden
East Richmond Community Association
Everett Crowley Park Committee
Free the Fern Stewardship Society
La Boussole centre communautaire société
Ladybug Community Garden
Middle Eastern Support Women Group
Native Bee Society of British Columbia
Pollinating Butterflyway Urban Gardens
RedRoadRecovery
The Sustainable Act
WESN in the Park
Wild with Nature
Kelowna Chinese United Association
Accessible Nature Wellness Park Group
Swan Lake Nature Sanctuary
ArtBeat Studio Inc
Kapabamayak Achaak Healing Forest Winnipeg
Seniors for Climate Mb
Winnipeg Ta’alim Community
Gale Force Theatre
Healing Buddha Hermitage
North End Community Garden
The Monthly Cycle
Charlie’s Free Wheel
Children’s Creative Village
Friends of Marita Payne Park
Friends of Tom Riley Park
Georgina Island First Nation
Humber River Lodge Volunteer Group
Lovers of Planet Earth
Our Space
Queer Forest Club
Sweet Grass Roots Collective
The Forgiveness Project
Ysabel Project
Two Rivers Neighbourhood Group
Pamoja
Weaving Community Connections in Civic Centre Kitchener
Jane’s Walk Ottawa-Gatineau
Neighbours of Meadowvale Park
Ottawa Stewardship Council-KN Regens
Women of Colour Remake Wellness
Age BIG
Green Harmony Collective
MacGregor-Albert Community Association
Action-vert
Atelier Tlachiuak
Coalition des ami·es du parc Jarry (CAP Jarry)
Innovation Youth
La Grande Tablée de Terrasse-Vaudreuil
La Planète s’invite au Parlement
Mossy Society
Parc Nature MHM
Parcours Âme
Ruelle des Décou-verte
Ruelle Esperanza Verde
Westhaven Community Center
Chez les Simone, tiers-lieu
Horti-cité
Club L’Aval
R.A.F.A.L.: Ressources Actions Familles au Lac St-Charles
Saskatoon Climate Hub
Vous êtes responsable d’un groupe voué aux parcs ou vous cherchez à en créer un et vous vous interrogez sur la meilleure structure de gouvernance? Le modèle d’équipe est une approche efficace pour travailler ensemble vers des objectifs communs. Ce modèle peut varier selon la nature de votre groupe et votre style de leadership. Voici un aperçu concret de son application au sein de deux groupes citoyens.
Sans surprise, l’organisation des groupes voués aux parcs est différente de celle des organismes sans but lucratif comptant des employés rémunérés. Pour beaucoup de bénévoles, la participation à la valorisation des parcs est une « activité bénévole » qui se greffe à leurs nombreuses responsabilités professionnelles et familiales.
Grassroots Growth, un projet de Volunteer Toronto, présente les divers modèles de gouvernance communs aux petits organismes comme la plupart des groupes communautaires voués aux parcs. Nous verrons le modèle d’équipe et les différences dans son application dans deux groupes voués aux parcs.
Pour cela, nous nous sommes entretenus avec Louise O’Neill, responsable de l’organisme Friends of Cedarbrook and Thomson Memorial Park* (FCTMP) à Scarborough en Ontario, qui est récemment passé d’un modèle à un seul leader fort à un modèle de leadership d’équipe. Nous avons également parlé à Ana Cuciureanu de Friends of Parkway Forest Park* (FPFP), un organisme de Toronto qui a adopté une version hybride du modèle d’équipe, et qui trouve cette formule efficace.
Par modèle d’équipe, on entend que « tous les bénévoles travaillent ensemble pour prendre les décisions ». Il est logique d’adopter un modèle d’équipe pour un petit groupe : vous cherchez des moyens d’inclure les autres dans la prise de décisions et d’éviter que le responsable ne s’épuise à la tâche en portant tout le fardeau. Vos idées et vos solutions peuvent s’avérer plus créatives et il peut être gratifiant pour les membres de l’équipe de partager le fardeau.
Au début, l’organisme Friends of Cedarbrook and Thomson Memorial Park appliquait un modèle à un seul leader fort. Autrement dit, Louise s’occupait de tout. Un jour, elle s’est rendu compte que le groupe ne pouvait se diversifier et accroître sa présence qu’en favorisant la participation d’un plus grand nombre de personnes. Par ailleurs, le partage du leadership entraînait l’intégration de la planification de la relève dans sa vision du groupe. Le passage au modèle d’équipe a été facilité par le fait que les activités du groupe attiraient continuellement de nouvelles personnes intéressées à s’engager davantage. Louise compte maintenant un noyau de 10 membres clés et un groupe de 60 personnes, dont beaucoup prêtent main-forte à l’occasion.
Selon Louise, les postes les plus importants au sein d’une équipe sont ceux de trésorier/teneur de comptes, qui gère les fonds et s’occupe de la bonne tenue des comptes, et de responsable qui fixe les réunions, administre la liste des participants, établit les programmes et voit à la bonne marche générale du groupe. Louise affirme qu’un troisième membre clé de l’équipe serait la personne chargée du marketing, principalement parce qu’elle attire continuellement de nouveaux participants. Chacun des membres de l’équipe a des fonctions particulières et l’équipe doit parvenir à un consensus pour prendre les décisions importantes.
À l’inverse, Friends of Parkway Forest Park a augmenté ses effectifs et a appliqué le modèle d’équipe dès le départ. Jusqu’à maintenant, le groupe a réussi à fonctionner sans adopter une structure trop formaliste. Bien qu’Ana soit techniquement la meneuse du groupe, elle ne veut pas être reconnue comme la « leader », même si elle est heureuse d’assurer la cohésion du groupe. « Je ne veux pas être un leader. Je veux que chacun s’approprie le groupe, mais je sais aussi qu’à titre de fondatrice, on me considère comme tel. J’essaie très fort d’y résister parce que ce n’est pas mon style et je ne crois pas que ce soit ce qui est le mieux pour ce groupe en particulier. »
Les membres clés de l’organisme Friends of Cedarbrook and Thomson Memorial Park choisissent les fonctions qu’ils veulent remplir. Par exemple, un membre est comptable et il a offert de s’occuper de la tenue de livres de FCTMP et de faire le suivi de la participation. Un autre communique avec les entreprises locales pour demander des dons, tandis qu’un autre, paysagiste professionnel, mène les projets d’embellissement du parc. Louise continue de superviser les tâches administratives du groupe.
D’autres membres de FCTMP assument des fonctions liées aux programmes : il y a un coordonnateur des randonnées à vélo, un coordonnateur des activités de plein air et même un amateur de tricot qui s’occupe des démarches pour inscrire le groupe à la Journée mondiale du tricot en public. Chaque coordonnateur travaille de façon autonome, mais prend les décisions en consultant le noyau du groupe. La structure du groupe est relativement souple et permet d’accueillir ceux qui veulent participer à des projets spéciaux ou prêter main-forte, selon le cas.
Au sein de Parkway Forest, les membres du groupe contribuent également selon leurs points forts. Toutefois, la participation fluctue considérablement selon la disponibilité des bénévoles. En fait, beaucoup de membres ont d’autres engagements et responsabilités. On sait très bien qu’ils ne seront pas toujours disponibles pour aider. « Nous sommes tous des bénévoles avec des vies bien remplies et des responsabilités qui nous appellent ailleurs. Nous ne pouvons tout simplement pas nous attendre à ce que tout le monde réponde toujours présent et nous avons donc créé une structure qui en tient compte. » Forts de leur collaboration à plusieurs projets, les membres se connaissent bien et savent intuitivement ce que chacun peut apporter à des tâches comme la préparation de demandes de subventions, l’organisation d’événements, l’établissement de la documentation et les programmes d’information. Ana reconnaît que cette approche pourrait manquer d’efficacité quand de nouveaux membres s’ajouteront, mais pour l’instant, elle fonctionne.
Le noyau du groupe Friends of Parkway Forest Park s’est formé grâce à des partenariats avec les organismes de services sociaux et d’autres groupes de bénévoles. Quand une personne avec des compétences et des intérêts qui recoupent ceux du groupe manifeste son désir de participer, les membres existants discutent entre eux pour décider s’ils l’ajoutent au noyau. Il n’y a pas de distinction entre les membres faisant partie du noyau du groupe et les autres. Une très grande prudence est exercée relativement à l’ajout de nouveaux membres pour protéger la dynamique du groupe.
Les membres clés de Friends of Cedarbrook and Thomson Memorial Park ont le dernier mot sur l’orientation du groupe et les activités qu’il organise. La décision d’ajouter un membre au noyau du groupe est fondée sur les critères suivants : présence à plusieurs réunions et participation à quelques activités. Autrement, il est toujours possible d’assister à des réunions, mais vous n’aurez pas voix au chapitre. Le groupe a adopté cette approche pour régler le problème des personnes qui se servent principalement du groupe pour faire avancer leurs propres intérêts. Par exemple, Louise se souvient d’un organisme qui voulait organiser une activité musicale par l’entremise de Friends of Cedarbrook Park, espérant ainsi éviter les frais de permis et d’assurance. « Nous nous sommes rendu compte que les membres doivent s’engager jusqu’à un certain point, raconte-t-elle. Nous devons nous assurer qu’ils sont vraiment intéressés par notre mandat fondamental qui consiste à améliorer le parc. »
Que se passe-t-il quand un chef d’équipe ou un membre clé part? Louise et Ana ont toutes deux longuement réfléchi à cette question.
Pour Louise, le modèle d’équipe améliore la résilience et favorise la continuité au sein de son groupe. Par exemple, elle a déjà confié à un membre qui a un intérêt pour les médias sociaux la gestion des comptes du groupe. Louise croit que deux ou trois personnes pourraient se partager les responsabilités qu’elle assume actuellement. « Mais il faut toujours qu’une personne soit responsable, dit-elle. Quelqu’un doit veiller à la cohésion du groupe. »
Comme Louise, Ana reconnaît qu’elle est la figure de proue du groupe. Toutefois, elle croit fermement qu’une approche agile du leadership de son équipe permettra à beaucoup d’acquérir de l’expérience à différents postes, ce qui favorisera la résilience du groupe si elle doit se retirer pour une raison ou une autre. « J’essaie de former beaucoup de mini-moi, dit-elle, pour que chacun puisse diriger un projet avec confiance. Nous y parviendrons certainement à mesure que les gens acquièrent de l’expérience dans différents domaines. »
Si vous êtes en train de mettre sur pied votre groupe et espérez organiser plus de deux activités par année, pensez à adopter le modèle de gouvernance d’équipe. Un plus grand nombre de personnes peuvent mettre la main à la pâte et ce modèle vous aide à en faire plus, grâce au groupe, que si vous étiez seul.
Ami·es des parcs a le plaisir d’annoncer qu’Erika Nikolai, passera du statut de co-directrice exécutive à celui de seule directrice exécutive, à compter du 1er juillet. Dave Harvey, qui dirige avec elle l’organisation en tant que co-directeur exécutif, prendra sa retraite à cette date.
Erika compte des dizaines d’années d’expérience de travail au sein d’organisations à but non lucratif dans les domaines du développement communautaire et de l’aménagement urbain. Depuis 2022, Dave et Erika se partageaient la direction de l’organisation.
Erika a rejoint Ami·es des parcs en 2014, lorsque les activités de l’organisation portaient exclusivement sur la ville de Toronto. En accédant au poste de directrice générale, Erika a ensuite largement contribué à faire rayonner l’organisation dans d’autres villes et parcs du Canada. Avant de rejoindre l’organisation, Erika a joué un rôle de premier plan chez Evergreen, où elle a travaillé auprès de groupes méritant l’équité dans des domaines comme l’agriculture urbaine, les transports actifs et l’employabilité des jeunes dans le secteur de l’environnement.
“C’est avec énormément d’enthousiasme que je reprends le flambeau de cette formidable équipe afin de continuer à accroître notre impact dans les villes de tout le pays. Dave laisse derrière lui un formidable patrimoine. Partant du désir en 2011 de renforcer la mobilisation des habitant·es dans les parcs, Ami·es des parcs a réussi, malgré sa petite taille, à changer la façon dont nous pensons les parcs.”
Erika Nikolai, Directrice exécutive, Ami·es des parcs
Erika dirigera le personnel de l’organisation qui compte plus de 30 membres, dont les bureaux sont situés à Toronto, Vancouver et Montréal. Au cours de ses 13 années d’existence, l’organisation a contribué à un changement de paradigme radical pour les parcs urbains : autrefois considérés comme « un plus », ceux-ci sont désormais considérés comme des infrastructures urbaines essentielles.
“La nomination d’Erika au poste de directrice exécutive unique démontre l’importance de son immense contribution au succès de l’organisation ces 10 dernières années. Il s’agit d’une transition naturelle et positive pour l’organisation, et j’ai hâte de voir quel nouveau chapitre elle écrira pour Ami·es des parcs.”
Zahra Ebrahim, Présidente du conseil d’administration, Ami·es des parcs
Dave Harvey, codirecteur exécutif sortant et fondateur de l’organisation en 2011, partage cet enthousiasme : “Je suis ravi de passer la barre à Erika. Je laisse l’organisation entre ses mains expertes et avec le soutien d’une excellente équipe.”
Dave entend continuer à apporter son soutien à l’organisation et à participer à d’autres activités liées aux espaces verts urbains à titre de consultant et conseiller.
L’année 2024 s’annonce être une année passionnante pour l’organisation et les parcs urbains du Canada. À cet égard, Ami·es des parcs travaille déjà sur de nombreuses initiatives emballantes pour cette année, comme le Rapport sur les parcs urbains du Canada, le Forum de Montréal, le programme des Bourses TD Ami·es des parcs, le programme InTO the Ravines, ainsi que l’incroyable programme Parcs Cœur vital destiné aux grands parcs urbains du Canada.
Instagram et TikTok constituent d’excellentes plateformes pour établir une communauté virtuelle, faire connaître vos événements et mettre en avant la beauté et l’énergie des espaces verts de votre quartier. Voici quelques conseils pour vous lancer.
Pas besoin de devenir la prochaine sensation sur Internet. Sur les réseaux sociaux, ce qui touche le plus les gens est un contenu authentique. Diffusez des informations qui vous plaisent, vous intéressent et vous inspirent. Il est fort à parier que les autres partageront votre sentiment.Pensez au genre de messages qui vous représente le plus, vous et votre travail. Si rassembler les gens est important pour votre groupe (organiser des pique-niques de quartier, des soirées cinéma en plein air ou des rencontres entre bénévoles), optez pour un style léger et basé sur l’humour pour vos messages. Parlez surtout des gens qui soutiennent votre groupe pour attirer davantage de bénévoles et un plus grand public pour vos événements. Si la préservation de l’environnement (protection de la faune, plantation d’espèces végétales indigènes ou collecte de déchets dans les parcs) est importante pour votre groupe, optez alors pour un contenu plus éducatif. Ceci éveillera la curiosité de votre public et les incitera à faire leur part pour l’environnement.Quel que soit votre style, efforcez-vous de conserver un ton et un langage cohérents. Pour ce faire, songez à confier la création du contenu de vos réseaux sociaux à une personne ou une équipe de confiance qui comprend la personnalité et les objectifs de votre groupe. Vous pourriez aussi envisager de rédiger un bref document présentant quelques directives : les mots-clics à utiliser, la manière de décrire votre groupe, le langage et les émojis adéquats, et la manière de répondre aux commentaires ou aux messages. Cela permettrait aux bénévoles de participer plus facilement à vos activités et d’améliorer la perception et la visibilité de votre groupe sur Internet.
Passez du temps sur Instagram et TikTok pour voir les contenus les plus populaires dans votre domaine. Réfléchissez aussi au type de photos ou de vidéos que votre groupe pourrait recréer en y ajoutant sa touche personnelle.Si votre groupe est plus intéressé par les vidéos, regardez des vidéos courtes [Reels en anglais] sur Instagram et TikTok. Si vous préférez les photos, alors consultez le flux d’Instagram. Pour trouver le contenu le plus pertinent, faites une recherche avec des mots-clics comme #NatureUrbaine, #LeNomDeVotreVille (ex. #Montreal ou #MTL), ou des mots-clics en lien avec votre quartier ou un parc près de chez vous.Vous réaliserez rapidement que vous n’avez pas besoin d’équipements sophistiqués, juste un téléphone intelligent et peut-être un logiciel d’édition gratuit sur Internet. Voici quelques idées supplémentaires pour vous inspirer :
Les réseaux sociaux sont faits pour… socialiser ! Vos publications sur TikTok et Instagram auront le plus de succès si vous créez une communauté virtuelle plutôt que si vous diffusez des messages dans le vide. Après avoir créé votre profil et publié plusieurs fois du contenu, songez à solliciter les parties prenantes suivantes :
Prenez l’habitude de reconnaître les efforts des autres et complimentez-les. Des commentaires comme « magnifique photo » ou « ça a l’air d’avoir été un super événement ! » sont toujours appréciés (et pourraient vous permettre d’accroître votre auditoire).
TikTok et Instagram ont tendance à mettre en avant les comptes les plus actifs. Alors, n’oubliez pas de publier régulièrement du contenu. La création de contenu ne doit pas nécessairement être un travail à temps plein; publier un message par semaine suffit !Pour garder le rythme plus facilement, songez à créer un calendrier pour la publication de votre contenu. Ajoutez-y les activités à venir de votre groupe et déterminez quel contenu publier avant et après celles-ci. Vous pouvez aussi tirer parti de dates spéciales, comme la Journée de la Terre ou la Journée internationale de la femme, pour publier du contenu pertinent. Enfin, pensez à planifier des publications régulières sur des thèmes comme : « la ou le bénévole du mois/de la semaine » ou #JeudiNostalgie [Throwback Thursday en anglais]. Ceci vous permettra de remettre en avant des événements antérieurs, de faire connaître l’histoire d’un parc ou de célébrer votre quartier quand vous n’organisez pas d’événement.
Dans toutes vos publications, n’oubliez pas d’utiliser les mots-clics pertinents pour que votre contenu soit visible par le maximum de personnes. En voici quelques exemples : #ParcsUrbains, #NatureUrbaine, #EspacesVerts, #ParcsDeQuartier, #ParcsPublics #NaturePourTous, #AmiEsDesParcs. Identifiez le nom de votre ville, de votre quartier ou d’une organisation partenaire pour diffuser votre message auprès du plus large public.
Maintenant que vous avez lu tous ces conseils, vous êtes prêt·e à créer un contenu accrocheur ! Et n’oubliez pas de nous identifier à l’aide du mot-clic #AmiEsDesParcs pour que nous puissions voir vos fantastiques créations.